Cet été, nous vous emmenons à la découverte de métiers du terroir. Deuxième étape chez le berger de l’alpage du Pré de Mollens, Olivier Humbert.
Il est 5 h du matin en ce mercredi de juin quand le réveil nous sort des bras de Morphée. Plus oiseau de nuit que debout quand le coq chante, on peine un peu à s’extirper de notre cocon. Un brin de toilette et 45 minutes de route plus tard, on arrive tout de même au Pré de Mollens. On y retrouve vers 6 h 15 le berger Olivier Humbert, qui vient de terminer la traite de ses chèvres. «Je commence toujours ma journée par ça», indique-t-il.
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Chez l’accueillant berger de Mollens
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