Les travaux au Pré d’Aubonne et au Pré de Rolle sont bouclés, et font naître des interrogations sur la place qu’occupent les alpages communaux dans nos régions.
La saison d’estivage a beau être terminée, tous les alpages ne sont pas encore profondément endormis. Mercredi 20 octobre, malgré un froid glacial, les autorités aubonnoises procédaient à la remise de chantier des alpages du Pré d’Aubonne et du Pré de Rolle. Depuis le printemps dernier, ces derniers ont subi des transformations importantes, au niveau du toit des chalets et de l’adduction d’eau (voir encadré).
Dans le canton, sur les quelque mille alpages, le trois quarts environ appartiennent à des communes, à l’instar du Pré de Mollens, du Pré de Denens ou encore de la Burtignière. Sur le territoire total du pays, 11% sont dédiés à l’estivage, soit environ un tiers de la surface agricole. Ici et là, ces lieux préservés et exigeants sont les témoins d’une tradition ancestrale.
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Les alpages communaux, emblématiques mais exigeants
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