Installé en Birmanie depuis trois ans, l’ancien habitant d’Echandens Thibaut Stettler parle du récent coup d’État, mais aussi de son amour pour son pays d’adoption.
Je suis bien conscient qu’il ne faut pas comparer l’incomparable, mais imaginez qu’en vous réveillant ce matin, vous apprenez que le chef de l’armée Thomas Süssli a fait arrêter Guy Parmelin et les membres du Conseil fédéral pour prendre le pouvoir. Si cela est pour nous totalement inconcevable, c’est précisément ce qu’a connu la Birmanie lundi.
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«Le peuple birman est maudit»
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