Le gros œuvre manque de bras alors que le nombre d’apprentis diminue. Le patronat revalorise cette filière, avec des vacances en plus et de l’intelligence artificielle.
Un métier «varié, où l’on ne s’ennuie jamais» et le «plaisir de démarrer un nouveau chantier et d’en suivre les étapes de A à Z». Valentino Aliatis se réjouit de commencer son apprentissage de maçon, cet été, au sein de l’entreprise Dénériaz SA...
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Deux mesures pour rendre plus attractif le CFC de maçon
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