Le Morgien est parvenu à traverser dans leur longueur les cinq plus grands lacs de Suisse (sauf le Léman) en onze jours seulement. Retour sur une aventure hors du commun.
La dernière ligne droite aura été la plus périlleuse pour le Morgien Noam Yaron. Alors qu’il ne lui restait «plus que» le lac de Neuchâtel à traverser dans sa longueur, le nageur amateur a dû composer avec une bise tenace et, par conséquent, des vagues qui lui ont compliqué la tâche. Mais le vent, l’athlète connaît. Il lui avait déjà donné du fil à retordre lors de la traversée du Léman, à l’été 2021. Et aussi contre-intuitif que cela puisse paraître, Noam Yaron semble plus à l’aise dans des conditions difficiles. «Ça me demande d’être plus à l’écoute de mon corps et de la nature, confirme l’intéressé. Je dois être concentré, en rythme, et c’est souvent là que je nage le mieux. Même si c’est bien plus éprouvant.»
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Noam Yaron a accompli son odyssée
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