Dans la série «Franche connexion», lumière est mise sur les indispensables membres d’origine française œuvrant dans les clubs lémaniques. Le deuxième épisode s’attarde sur leur formation et leurs expériences de vie.
«Pourquoi en Suisse, c’est au Tessin, sur le lac de Constance et sur le Léman que l’on compte des volumes d’écoles de voile réguliers?» interroge le chef de base du Club Nautique Morgien Didier Lenormand avant de donner lui-même sa réponse. «Parce qu’on y fait respectivement travailler des Allemands, des Italiens et des Français», ajoute-t-il en précisant que la main-d’œuvre argentine et espagnole est elle aussi précieuse au bord de «notre» plan d’eau.«Dans le centre de la Suisse, tu peux trouver un bénévole qui décide de consacrer tout son temps à son club. Mais quand ce bénévole s’éteint, l’équipe disparaît. Voilà pourquoi beaucoup de ces sociétés ont des résultats cycliques.»
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La franche connexion: du vécu plein les bagages (2/4)
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