La désormais mythique «PDG» aura lieu fin avril en Valais. Des dizaines d’athlètes du district s’y préparent depuis des mois, alors que le phénomène prend de l’ampleur.
De mémoire de sportif et de vendeur d’articles de sports d’hiver, la peau de phoque n’a jamais connu un essor aussi grand que ces trois dernières saisons. Le goût de l’effort, l’attrait de la nature, le Covid pour une part également, sont autant d’éléments qui expliquent ce phénomène.
La discipline semblait réservée à des «bêtes» du physique, alors qu’elle s’avère désormais beaucoup plus accessible, notamment auprès d’un public féminin que l’on croise en nombre sur les pistes ou les itinéraires.
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En plein effort pour «leur» patrouille
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