J’ai bien regretté, l’autre jour, de ne plus être au temps des grands photographes Robert Doisneau ou Henrier Cartier-Bresson.
Les veinards pouvaient se promener dans les rues de partout, de Paris surtout, et immortaliser avec vivacité et talent l’enfance en mouvement.
Signaler une erreur
Le monde à ma porte – 18 février 2022
Envie de lire la suite ?
L'information vérifiée et de qualité n'est pas gratuite. Derrière les articles de ce site, il y a une équipe de journalistes et de photographes dont le métier est de vous informer sur l'actualité de notre région. S'abonner pour lire ces articles, c'est soutenir un journalisme indépendant et ancré dans sa région.