Cette semaine, notre rédacteur en chef Cédric Jotterand fait le lien entre une pièce de théâtre revenant sur l'histoire de la jeune juive dans les années 40 et la guerre qui sévit actuellement.
Il se désole en se demandant s'il en existe d'autres cachées ces jours dans une annexe en Ukraine, signe d'une nouvelle triste page de l'histoire.
Pour tous ceux qui ont eu la chance de voir la pièce «Le Journal d’Anne Frank» mardi à Beausobre, comment ne pas faire le parallèle avec la situation qui frappe le peuple ukrainien depuis deux mois?
Alors que les cheveux gris garnissent souvent les sièges du théâtre, ils étaient de nombreux adolescents à découvrir le destin de la jeune femme, «coupable» d’être juive à une période où il ne le fallait pas.
«La bêtise du monde», a-t-elle dit pour expliquer son statut de reclue. Dans cette annexe d’Amsterdam où elle a tenu le coup avant de se faire «prendre» à quelques mois de la fin de la guerre.
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Le journal d’Anne Frank pour saisir le monde
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