J’ai assisté il y a trois jours aux obsèques de Michel Buehler au temple de Sainte-Croix. Dans ma voiture, en fin d’après-midi, en rentrant chez moi, j’ai écouté ses chansons. J’étais habité par les paroles, les voix de ceux qui étaient venus dire leur amitié, leur amour, leur fraternité, donc leur chagrin.
J’aimais bien Buehler. Il était dans mon paysage de vie depuis longtemps. J’aimais bien retenir ses idées, les intonations de sa voix convaincante et rassurante. J’avais des mots, des titres qui me revenaient à travers les années. Mon classicisme me...
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Le monde à ma porte – 18 novembre 2022

Photo: Guinnard/VQH
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