Il est des moments dont on se régale. C’était le cas en 2012 lorsque je suis allé à La Fouly en Valais pour deux heures de discussion passionnante avec l’alpiniste Jean Troillet.
Je m’en souviens presque comme si c’était hier. C’était au début du mois de mars 2012. Après deux heures de voiture, je débarquais à La Fouly, petite station de ski du Val Ferret, encore recouverte de plusieurs centimètres de neige. C’est là que vit l’alpiniste Jean Troillet. À mon arrivée, le village était comme mort, la saison hivernale touchant à sa fin.
Signaler une erreur
Carte blanche: Se taire, écouter et se laisser embarquer
Envie de lire la suite ?
L'information vérifiée et de qualité n'est pas gratuite. Derrière les articles de ce site, il y a une équipe de journalistes et de photographes dont le métier est de vous informer sur l'actualité de notre région. S'abonner pour lire ces articles, c'est soutenir un journalisme indépendant et ancré dans sa région.