Ça ira mieux demain... Quelles émotions à la lueur du lampion? | Journal de Morges
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Ça ira mieux demain… Quelles émotions à la lueur du lampion?

Ça ira mieux demain… Quelles émotions à la lueur du lampion?

Pas de feux d'artifices dans la plupart des communes cette année.

Voici le plein de nouvelles pas toujours vitales pour l’avenir de la planète, mais qu’on a à cœur de partager avec vous! Cette semaine, notre journaliste réfléchit sur son rapport à la Suisse.


En général, je ne pense pas forcément à la Suisse en admirant les feux d’artifice. Peu importe, d’une certaine manière; le spectacle se suffit souvent à lui-même (quand il n’est pas annulé). Ce 1er août sera assurément une bonne occasion de réfléchir aux liens que nous entretenons avec le ou les pays qui sont le décor de nos vies.

Quand ma chère maman, qui est d’origine française, parle de sa terre d’adoption à sa famille, elle souligne volontiers qu’en Suisse, les gens s’identifient avant tout à leur canton plutôt qu’au pays tout entier. Je ne crois pas que ce soit spécifique à nos contrées, et elle est d’ailleurs la première à l’admettre: en France, certains se targuent d’être surtout Corses, Bretons, Marseillais, Lyonnais, Basques ou Parisiens. Ailleurs aussi, la région prend souvent le pas sur la nation: on est Catalan ou Galicien, Texan ou New-Yorkais, Berlinois ou Munichois.
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