En m’attribuant sa chronique «L’invité» à moi, une des rookies de la dite chronique, à la veille d’un week-end de votations et d’élections, l’année des 50ans du droit de vote des femmes en Suisse, j’ai comme le sentiment que le JDM me souffle le sujet des caractères suivants... Pourtant, je ne me lancerai pas dans le débat pour ou contre les objets en votation, ni ne dévoilerai les noms inscrits sur mon bulletin électoral.
Lundi prochain, nous serons le 8 mars, soit la Journée internationale des femmes (et l’anniversaire de mon oncle (…) bonne fête d’avance à toi si tu me lis). Cette journée doit, selon ses instigateurs, les Nations Unies, «représenter une opportunité d’informer le public sur un thème majeur, de mettre en lumière ses enjeux» et de «reconnaître les réalisations des femmes», au même titre, entre autres, que la journée internationale du vol spatial habité (12/04) et du jeu d’échecs (20/07)! Donc sur une seule journée, on mobilise des ressources pour militer pour l’égalité des genres et sensibiliser le monde sur toutes les belles choses réalisées par les femmes. Ne serait-ce pas des actions qui méritent d’être quotidiennes? Bien que je me pose la question, je ne réussis pas pour autant à me revendiquer féministe à outrance.
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