Les bonnes langues de la Fanfare | Journal de Morges
Signaler une erreur
Ce champ n’est utilisé qu’à des fins de validation et devrait rester inchangé.

Les bonnes langues de la Fanfare

Les bonnes langues de la Fanfare

«C’est selon l’âge de la vache!» plaisante Katherine Tétaz qui, avec son commis de mari, a assuré le service traiteur lors du traditionnel repas du Petit Nouvel-An de la Fanfare de Yens. «Mais il faut la cuire durant au moins deux heures et demie», ajoute-t-elle plus sérieusement.Plusieurs vaches ont cédé leur attribut gustatif pour satisfaire les quelque 250 convives qui ont partagé ce repas dont la langue de bœuf est devenue un élément incontournable. Mais elle n’est qu’un élément d’un menu qui n’a rien de menu: féras et cochons prêtent main-...
Contenu Bloque

Envie de lire la suite ?

L'information vérifiée et de qualité n'est pas gratuite. Derrière les articles de ce site, il y a une équipe de journalistes et de photographes dont le métier est de vous informer sur l'actualité de notre région. S'abonner pour lire ces articles, c'est soutenir un journalisme indépendant et ancré dans sa région.