«Ce qu’elle voulait, c’était capter le vivant» | Journal de Morges
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«Ce qu’elle voulait, c’était capter le vivant»

«Ce qu’elle voulait, c’était capter le vivant»

Diane Olivieri présentant l'autoportrait de sa mère, Clarisse Hunziker de Meuron.

Samedi dernier, la Galerie Edouard Roch (Ballens) a accueilli le vernissage de l’exposition consacrée à la défunte peintre morgienne, Clarisse Hunziker de Meuron. Découverte de ce don pour le pinceau et d’un parcours de vie mouvementé.

Méconnue du public, la peintre morgienne Clarisse Hunziker de Meuron (1920-2016) a pourtant été saluée par les plus grands, à l’image d’Oskar Kokoschka, Pietro Sarto ou encore René Victor Auberjonois. Pour sa fille, Diane Oliveri, l’exposition de ses peintures était donc l’occasion de la faire découvrir au public, tout en lui rendant hommage. «Cette exposition est pour moi une raison de vivre. Je me suis beaucoup consacrée à ma mère. On peut dire même que j’ai sauvé son œuvre», livre-elle avec émotion. Imprégnée par la passion de sa mère, Diane Oliveri, expose également ses propres tableaux, dont la vente permettra le financement de l’événement. Ouverte depuis samedi dernier, l’exposition se terminera le 1er novembre, en la compagnie musicale du guitariste de renommée mondiale, Albert Pià.
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