Isabelle Moret est descendue de son perchoir de première citoyenne du pays lundi dernier. Elle revient sur les grands moments d’une année forcément bouleversée mais assurée avec maestria.
Au pas de charge! C’est comme cela que l’on a vu débouler Isabelle Moret il y a pile un an en posant le pied sur les quais de Morges, comme cela aussi qu’elle a vécu une année présidentielle qui devait s’avérer classique et qui s’est transformée en un véritable marathon à l’intérieur du pays.
Élue à la Chambre du peuple avec le score le plus élevé jamais atteint (193 voix sur 198 bulletins), la citoyenne de Yens a vu son planning chamboulé par le coronavirus. «Cette situation m’a offert l’opportunité de m’investir pour le parlement afin de garantir son fonctionnement. Il était en effet essentiel de siéger pour assurer la continuité de l’État, sa haute surveillance et plus encore voter les crédits nécessaires au chômage et aux prêts.»
Signaler une erreur
Une année présidentielle au 7e ciel
Envie de lire la suite ?
L'information vérifiée et de qualité n'est pas gratuite. Derrière les articles de ce site, il y a une équipe de journalistes et de photographes dont le métier est de vous informer sur l'actualité de notre région. S'abonner pour lire ces articles, c'est soutenir un journalisme indépendant et ancré dans sa région.