Les conditions météorologiques particulières de la première partie de l’année ont réduit le nombre de grains dans les épis et le développement de ceux qui s’étaient formés.
Les craintes avaient déjà été exprimées fin juillet, elles se confirment désormais. «Les champs de céréales avaient l’air bien de l’extérieur et ils ont donné de la belle paille, mais il n’y avait pas de grains.»
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Un tiers des céréales manquent à l’appel

Du haut de sa moissonneuse-batteuse, Christophe Longchamp (ici en 2022) dispose d’une vue d’ensemble sur ses cultures. Photo: Philippoz.
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