3Différents services ont volé au secours du parascolaire, bénévolement. La Ville a en effet dû faire face à un nombre record d’absents au sein du personnel de la petite enfance.
Il est midi. Un pied à peine posé dans la petite cour du collège Jacques Dubochet et la tranquillité apparente des ruelles du quartier de la gare cède immédiatement la place à un heureux brouhaha. Des voix d’enfants ponctuées de cris et de rires se mélangent de tous les côtés. Une succession d’éclairs colorés gambadent dans tous les sens, à ne plus savoir où donner de la tête dans cette joyeuse pagaille. Celle-ci contraste pourtant avec le calme et la douceur des monitrices et surveillantes de l’Unité d’accueil pour écoliers (UAPE) qui, dispersées ça et là, veillent au grain, consciencieusement, piliers de l’accueil parascolaire.
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Solidarité communale à l’épreuve
Les bénévoles Diana Monteiro, Adriana Bonito et Anne Annen s’affairent aux côtés de Monika Monterrubio, monitrice. Photo: Monayron
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