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Sans elles, les vacances seraient fades
D’un côté, il y a Brigitte Schilt, Morgienne pur sucre bien qu’elle soit née en 1960 à Payerne, avant de «faire» toutes ses écoles et sa carrière à la Coquette. De l’autre, il y a Judith Frischknecht, qui a vu le jour en 1967 à l’autre bout du pays, dans le village thurgovien de Batterswil, et a tout quitté une fois adulte pour s’installer en Suisse romande – d’abord à Genève, puis à Nyon, à Morges en 1996, et enfin à Bière. La première est plutôt calme, posée, tandis que la seconde épate par sa loquacité et son tempérament bien trempé.
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