À presque 92 ans, le peintre et graveur Pietro Sarto n’est jamais las de créer. De Chiasso à Saint-Prex en passant par Paris, la vie de cet autodidacte est faite de contestations et de rencontres qui les ont forgés, lui et son œuvre.
Une vieille maison dans la Grand’rue de Saint-Prex à la porte dépourvue de sonnette. En entrant, une clochette vous invite à signaler votre présence. «Montez!», lance une voix venant du haut de l’escalier.
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Près d’un siècle sans langue de bois
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