16L’enseignante spécialisée Mayliss Loiseau et son fils Ahkas, de Morges, évoquent ensemble les enjeux liés à la journée mondiale de sensibilisation à l’autisme, qui aura lieu le 2 avril.
En photo, en vidéo et avec des textes proches du journal de bord; sur Instagram, la Morgienne Mayliss Loiseau et son fils Ahkas*, 10 ans, racontent déjà leur quotidien et ses spécificités pour sensibiliser le grand public aux troubles du spectre de l’autisme (TSA). À leurs yeux, la journée mondiale dédiée à cette même mission, le 2 avril, a néanmoins une importance toute particulière. «Le jour où le mot autiste sera entendu pour ce qu’il est réellement, c’est-à-dire une condition neurologique et biologique, sans être assimilé à une critique, une insulte ou un jugement de valeur, je pense qu’il n’y aura plus besoin de cette journée-là», résume celle qui siège au comité d’Autisme Vaud.
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Mère et fils témoignent pour changer la perception de l’autisme
Ahkas a proposé les escaliers de Peyrolaz en guise de décor parce qu’il s’est, par le passé, pris de passion pour le graffiti. Photo: Philippoz.
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