Malgré l’appel à l’aide lancé en octobre, une quarantaine de membres du Collectif Jean Dutoit continuent de vivre dans des conditions déplorables.
Fenêtres cassées et remplacées par des planches à bois, fuites d’eau dans le toit, pas d’électricité ni de chauffage ou de cuisine… ces conditions de vie déplorables dans lesquelles vivent une quarantaine de migrants du Collectif Jean Dutoit, nous vous les décrivions dans notre édition du 28 octobre.
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Les migrants sont toujours en galère
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