6Depuis son élection au Grand Conseil en 2017, Nicolas Suter est un adepte du compromis. Un art qu’il érige en vertu cardinale, lui qui est également un amoureux de la différence.
Depuis le début de la législature, il était impossible pour les amateurs de politique vaudoise de passer «à côté» de son visage.
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Le voyageur proche de ses racines
Après deux ans et demi passés à la Municipalité, celui qui avait rejoint le Conseil communal en 2002 a dû annoncer sa démission à contrecœur. Photo: Dumauthioz/VQH
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