Depuis le début de la saison, les quatre stations de ski bien connues de la région n’ont pu ouvrir que deux jours et demi. L’avenir des sites de basse altitude est plus que jamais incertain.
«On est déçu, triste, mais on doit l’accepter. On ne peut rien faire. La nature donnait et elle ne donne plus.» Dany Moffrand est résigné devant les pistes vertes sur lesquelles il a pourtant appris à skier, au même titre que de nombreux habitants du district...
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«La neige, c’est le nerf de la guerre»
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