Le matériel pour les loisirs est onéreux pour les familles avec un enfant en situation de handicap. L’AI n’y contribue pas. Restent les repas de soutien.
Vivre avec un enfant en situation de handicap ne signifie pas – plus? – mener une existence reclus entre quatre murs. La technologie et les offres de loisirs permettent de bouger, de partir en vacances et de faire du sport, peut-être la meilleure des «thérapies».
Reste que s’adonner à des activités sportives avec sa fille ou son garçon souffrant d’une déficience coûte cher. Le prix d’un dualski – système pour emmener les personnes en chaise roulante sur les pistes – avoisine les 8000 francs. Même chose pour un Cimgo, sorte de fauteuil tout-terrain, tandis qu’il faudra débourser jusqu’à 9000 francs pour un vélo tandem adapté avec assistance électrique. Il faut y ajouter des frais de formation pour que les parents puissent manœuvrer ces engins.
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Des loisirs financés par la générosité
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