Atelier fouillé et moteur actionné dans le vide: par deux fois, le navire a été l’objet de visites malveillantes. L’association qui le gère veut éviter tout conflit, mais a déposé plainte.
Mais que diable allaient-ils faire sur la galère? C’est la question que se posent Jean-Marc Lavanchy et ses camarades, depuis cet été. Car à deux reprises, des visiteurs peu scrupuleux se sont introduits dans le navire de 57 mètres flottant au large des rives morgiennes. «Il arrive que des baigneurs ou des paddleurs s’en approchent par curiosité, confie le président de l’Association Lémanique Galère La Liberté. Mais là, c’est bien plus grave: il s’agit de dommages à la propriété privée.»
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Des intrus malvenus sur «La Liberté»
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