Méconnu, le métier d’agent de détention souffre d’une image centrée sur la seule privation de liberté. Deux employés de la prison de la Tuilière tordent le cou aux préjugés.
À Lonay, même les fourmis ne se faufilent pas pour pénétrer dans un bâtiment de haute sécurité comme la prison de la Tuilière. En toute logique, on laisse donc sa pièce d’identité à l’entrée et les portes, qui nous sont exceptionnellement ouvertes, le sont en suivant un protocole très strict.
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De l’empathie derrière les barreaux
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