Après avoir fui les combats, des Ukrainiens intègrent les classes de la région. Directeurs, professeurs et élèves ont à cœur de leur réserver le meilleur des accueils.
Au Petit-Dézaley, on se mobilise pour recevoir les élèves ukrainiens. «Tout le collège est impliqué, se réjouit Annelise Wyss, doyenne 3P et 4P. Les petits Morgiens étaient tout contents qu’on leur montre l’alphabet cyrillique et de décorer une salle où les jeunes déplacés de guerre de 1 à 6P suivront après les vacances de Pâques des cours de français intensif quatre matins par semaine, en parallèle des autres matières. Dans tout l’établissement, un vrai mouvement de solidarité s’est créé sous forme de dons en matériel.»
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De la guerre aux bancs de nos écoles
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