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«On a trahi Coubertin»
«Je crois que j’ai bien tiré mon épingle du jeu.» À 92 ans, William Fitting reste lucide lorsqu’il regarde dans le rétroviseur. «J’ai eu une enfance plutôt heureuse. J’ai même été un enfant gâté. Mon père gagnait beaucoup d’argent mais durant la Seconde Guerre, nous avons tout perdu et il est décédé. Ce fut un choc pour moi qui pensait pouvoir profiter de sa fortune toute ma vie.» Né d’une famille de médecins, le jeune homme d’alors 18 ans ne se dérobe pas à la tradition et se lance dans des études de médecine afin de devenir dentis...
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