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»Nous voulions arrêter au sommet de la vague »
«Chaque jour en cuisine, ce sont 30 à 40 kilos de patates que nous épluchons. Ça prend énormément de temps, plus personne ou presque ne fait encore ça aujourd’hui dans la restauration !» Le gérant du restaurant du tennis Thierry Von Kaenel est un perfectionniste, qui n’a pas peur de faire plus si cela rime à faire mieux. «C’est vrai que j’aurais pu depuis longtemps me détacher de la partie cuisine, mais je suis trop attaché au bon produit et à l’assiette. Manger et boire, c’est une raison de vivre pour moi. Les meilleurs moments qu’on passe ...
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