Alors que plusieurs cantons régulent désormais des meutes entières, le spécialiste incontournable du prédateur continue de croire en la voie de la cohabitation.
Jean-Marc Landry laisse infuser son thé du Japon. Il se tait deux minutes pendant que la pluie martèle le toit de son appartement aménagé dans l’annexe d’un manège du pied du Jura et que l’énorme savannah récupéré par sa compagne se faufile tel le félin qu’il est sur la hotte de la cuisine...
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«Monsieur Loup» reste optimiste
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