Tout le monde n’est pas égal face à l’aide sociale. La municipale morgienne Sylvie Podio plaide pour une réforme de la politique en la matière.
«Ne plus détourner le regard sur les oubliés des mesures de protection sociale.» Caritas et le Centre Social Protestant (CSP) ont lancé fin octobre un appel aux autorités. Sans-papiers, «petits» indépendants ou encore personnes et familles vivant avec des revenus juste au-dessus des normes d’intervention sociale… une partie d’entre eux a basculé du jour au lendemain dans la précarité ce printemps sans pouvoir ne bénéficier d’aucune aide publique. Heureusement, ces populations ont été soutenues par les deux organismes qui ont versé plus d’un million de francs à quelque 1500 individus. Mais à l’heure de la deuxième vague, les associations comptent sur les collectivités pour davantage œuvrer afin «qu’une détresse d’une telle ampleur ne se reproduise pas».
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Les oubliés du social mis en lumière
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