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Les forêts, un patrimoine qui coûte
«Aujourd’hui, une forêt c’est un peu comme un château ou une église.» Pierre-Yves Morel, municipal des forêts de Montricher ne se voile pas la face. Il le sait, son dicastère est abonné aux chiffres rouges. «Notre dernier exercice bénéficiaire remonte à 1988, avec 2466 francs. Depuis, nous sommes déficitaires. Actuellement, ça tourne autour des 200 000 francs de perte chaque année, c’est compliqué.» Une chute vertigineuse qui s’explique assez facilement. «Le marché du bois est catastrophique, explique le municipal montélet. Il est donc compliqu...
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