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»Les clients vont me manquer »
«Je ne suis pas devenue riche!» On s’en serait douté! Pour autant qu’on ait le talent nécessaire, il y a plus de chances de devenir riche en tapant dans un ballon ou une balle de tennis qu’en exploitant une épicerie de village. Catherine Ueltschi l’a fait avec talent. Et persévérance. Le 25 février, en fermant pour la dernière fois la boutique située sous la grande salle villageoise, elle a mis un terme à une trentaine d’années d’exploitation. Bien plus qu’un bail: un apostolat.A priori, rien ne prédisposait cette Lausannoise à devenir épic...
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