Aussi réputée qu’exigeante, la compétition aux cinq couchers de soleil n’est pas un événement sportif comme les autres. À l’aube de la 28e édition, plusieurs navigateurs morgiens racontent cette aventure humaine haute en couleur.
«C’est bien simple, on ne peut plus décrocher.» À entendre ses participants, la première venue aux Cinq Jours du Léman marque une existence au fer rouge. «Pire, elle la sépare en deux. Il y a un avant, et un après», glisse le Morgien Loïc Preitner, qui n’est autre que le détenteur du record de participations (16). «Je n’ai raté qu’une seule course depuis 2003, confie-t-il. C’était l’année suivante, j’étais en vacances à l’étranger avec mes parents. Là, j’ai senti au fond du ventre qu’un petit truc s’était passé. L’année d’après, j’ai proposé à mon frère Yannick de partir avec moi.»
Signaler une erreur
Les Cinq jours du Léman, expérience XXL
Envie de lire la suite ?
L'information vérifiée et de qualité n'est pas gratuite. Derrière les articles de ce site, il y a une équipe de journalistes et de photographes dont le métier est de vous informer sur l'actualité de notre région. S'abonner pour lire ces articles, c'est soutenir un journalisme indépendant et ancré dans sa région.