Au Centre d’imagerie Dubochet de Lausanne, une technologie de pointe permet des prouesses scientifiques. Reportage.
Il ne suffit pas d’avoir un pôle de recherche prestigieux à son nom pour en détenir les clés. En ce lundi matin, nous sommes bloqués en compagnie de Jacques Dubochet devant les portes closes de «son» Centre d’imagerie, plate-forme commune à l’EPFL, l’Université de Lausanne (UNIL) et l’Université de Genève (UNIGE) qui a été inaugurée en novembre à Dorigny. Le prix Nobel sort son portable et appelle le directeur Alexander Myasnikov. «Hi Alex, we are here», dit-il dans un anglais teinté d’un accent du coin.
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Le prix Nobel fait visiter «son» labo
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