Sans-papiers et sans-abri, Ion Tudorach raconte sa descente aux enfers. Après avoir vécu et travaillé dans la région morgienne, il est aujourd’hui aidé par l’Association Saint-Vincent de Paul.
Il est 19h30 mercredi quand la Soupe populaire «ouvre ses portes» à Lausanne. Le thermomètre approche 0 degré et comme chaque soir, Ion Tudorach vient chercher un des 100 repas chauds distribués par les bénévoles de la Fondation Mère Sofia qui ont troqué leurs locaux contre des stands montés à l’extérieur en cette période de pandémie. «Ce sont de braves gens», sourit Ion en regardant les volontaires.
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Des Fêtes seul et sans domicile fixe
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