Les artères du centre-ville vibrent depuis mercredi aux sonorités des musiques de rue pour la première édition du BuskersÀMorges. Avec un maître-mot: l'échange.
«Mariage pluvieux, mariage heureux», entend-on souvent. L'expression vaut-elle également pour un festival de musique dont le principe même est de jouer en pleine rue? Aucun doute pour Sylvie Pasche, directrice artistique du BuksersÀMorges. «On a vécu notre bizutage mercredi, ça ne pouvait aller qu'en s'améliorant ensuite!», sourit-elle non sans philosophie. Heureusement pour ses collègues et elle, les éléments se sont montrés plus cléments durant le reste de la semaine.
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Un «tour du monde» dans les rues
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