À douze ans, le pianiste de Lully Cédric Pescia était décrit comme très prometteur dans le Journal de Morges. Trente-sept ans après, le musicien apparaît on ne peut plus épanoui.
Cédric Pescia ne se souvient pas avec précision de l’audition au Conservatoire de Lausanne dont il était question dans le Journal de Morges du 20 novembre 1987 – et il serait sans doute sévère de lui en tenir rigueur, tant le paniste ayant grandi à Lully a écumé les scènes depuis. «Le piano prenait déjà une immense place dans ma vie», se remémore-t-il par téléphone depuis Berlin, où il vit.
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Ses arpèges l’ont mené au sommet
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