La Maison du Dessin de Presse exposera dès le 11 mars une sélection d’œuvres qui ont particulièrement fait réagir.
Il y a les dessins qui provoquent le rire, ceux qui arrachent un sourire, ceux qui font réfléchir, ceux qui touchent. Enfin, il y a ceux qui font râler, voire créent la polémique. C’est sur cette dernière catégorie que la Maison du Dessin de Presse s’est penchée pour sa prochaine exposition, intitulée «Rire ou Râler?».
À travers une huitantaine de planches (récentes ou historiques) qui ont fait réagir, prêtées par des artistes venus des quatre coins du globe, l’institution morgienne propose d’instaurer le dialogue entre le public et les dessinateurs.
La religion, bien souvent; le Covid, ces derniers temps; les droits des femmes ou la transidentité, les attentats du 11 septembre 2001, ou encore la mort de Babalou, l’âne de Saint-Nicolas… Nombreuses sont les thématiques qui ont provoqué leur lot de grincements de dents et d’outrages.
«C’est généralement le cas lorsque la lecture se fait au premier degré, sans décryptage préalable, car on bascule vite dans l’émotionnel», répond Stéphanie Reinhard, directrice de la maison, lorsqu’on lui demande s’il existe un dénominateur commun entre les dessins «qui scandalisent».
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Quand le dessin de presse fait parler de lui
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